Les parents vont devoir trouver une alternative à la garde de leurs enfants, à partir
du lundi 3 mai 2010.
L’ensemble des crèches associatives affiliées au GAPEG annoncent qu’elles garderont portes closes et cela pour une durée illimitée.
Depuis l’entrée en vigueur de la PSU (Prestation de Services Unique) en Guadeloupe en janvier 2010, les établissements accusent un manque de trésorerie conséquent qui ne leur permet pas de faire face à leur charges salariales, sociales et aux factures des fournisseurs.
Cette situation est avant tout la conséquence du non versement, à ce jour, de toutes les prestations dues au titre du premier semestre 2010 dans le cadre de la convention signée avec la CAF et le Conseil Général de Guadeloupe.
Les démarches faites pour trouver rapidement une solution à ce problème sont restées lettre morte.
La situation est aujourd’hui catastrophique pour la majorité des structures.
Les établissements n’ont plus de finances pour pouvoir fonctionner.
Ce sera donc près d’une quarantaine de crèches associatives du département qui n’accueillera pas les enfants tant que toutes les prestations prévues par la convention CAF et Conseil Général ne seront pas versées.
Nous remercions les parents qui comprennent ces difficultés et qui soutiennent notre mouvement par le biais de leur comité.
Nous espérons que nos partenaires prennent vraiment conscience de l’urgence de la situation.
Nous ne réclamons que ce qui nous est du pour nous permettre de travailler.
du lundi 3 mai 2010.
L’ensemble des crèches associatives affiliées au GAPEG annoncent qu’elles garderont portes closes et cela pour une durée illimitée.
Depuis l’entrée en vigueur de la PSU (Prestation de Services Unique) en Guadeloupe en janvier 2010, les établissements accusent un manque de trésorerie conséquent qui ne leur permet pas de faire face à leur charges salariales, sociales et aux factures des fournisseurs.
Cette situation est avant tout la conséquence du non versement, à ce jour, de toutes les prestations dues au titre du premier semestre 2010 dans le cadre de la convention signée avec la CAF et le Conseil Général de Guadeloupe.
Les démarches faites pour trouver rapidement une solution à ce problème sont restées lettre morte.
La situation est aujourd’hui catastrophique pour la majorité des structures.
Les établissements n’ont plus de finances pour pouvoir fonctionner.
Ce sera donc près d’une quarantaine de crèches associatives du département qui n’accueillera pas les enfants tant que toutes les prestations prévues par la convention CAF et Conseil Général ne seront pas versées.
Nous remercions les parents qui comprennent ces difficultés et qui soutiennent notre mouvement par le biais de leur comité.
Nous espérons que nos partenaires prennent vraiment conscience de l’urgence de la situation.
Nous ne réclamons que ce qui nous est du pour nous permettre de travailler.
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